Christelle Firework

ADN communique dans l'univers

L’ADN communique dans l’univers

Plus les chercheurs se penchent sur les mystères de la nature, plus ils se posent de questions. Ils viennent de découvrir que notre ADN possède une sorte de conscience et qu’elle peut même communiquer. Les prouesses de l’ADN sont telles qu’elles dépassent tout ce que l’homme a pu créer par la technique.

Science et religion se rapprochent à nouveau, après des siècles de fraternité ennemie. Il existe déjà diverses théories par lesquelles les sciences naturelles et la conscience tentent de se réunir sous un seul toit. Nous voulons présenter un certain nombre de points de vue allant dans ce sens.

L’une des théories les plus intéressantes est sans aucun doute la nouvelle cosmologie de Matti Pitkänen, qui établit, pour la première fois, un lien entre la physique et la conscience. Le physicien finnois a postulé, il y a déjà quelques années, une brillante théorie sur la manière dont l’univers était constitué, avec, à la base, une nouvelle géométrie spatiale basée sur huit dimensions : la géo-métro-dynamique topologique (TDG).

 

Dans cette théorie compliquée, difficilement compréhensible même pour les savants, les trous de vers jouent un rôle important.

 

Il s’agit de microscopiques canaux de connexion à travers l’hyper-espace, qui apparaissent suite à des fluctuations et des variations du vide quantique.

La Théorie de Pitkänen est très provocante, parce que, pour la première fois dans l’histoire des sciences, elle tente d’établir une relation entre la physique et biologie, ce qui mène à une véritable cosmologie du vivant. La biologie moderne, spécialement la génétique, s’occupe depuis longtemps de l’étude des molécules porteuses des gènes : l’ADN.

Selon la théorie de Pitknen, l’ADN ne sert pas seulement à produire des protéines dans les cellules et de construire par cette voie le corps, comme on l’avait découvert.

Selon le chercheur, le long de cette grande biomolécule, les trous de vers déjà mentionnées s’accolent et lui servent de canaux de communication.

 

Par cette voie, Pitkänen arrive à une toute nouvelle vision de l’ADN

 

La conscience et la perception s’intègrent et font leur entrée dans la physique. Il écrit :

« Les champs « trous de vers » magnétiques , qui sont greffés sur des membranes espace-temps, qui contiennent de la bio matière courante, sont de bons candidats pour l’explication physique du mécanisme de la perception. Le magnétisme des trous de vers pourrait même être considéré comme la quintessence des systèmes vivants ».

Dans cette citation Pitkänen se réfère à l’hypothèse des mondes parallèles, d’Everett et Wheeler, selon laquelle notre univers ne serait qu’un univers parmi de nombreux autres univers, situés dans un hyper-espace dimensions plus élevées.

Ces univers singuliers dans l’hyper-espace sont parfois également nommés feuilles (membranes) espace-temps. Si l’on développe la pensée de Pitkänen, cela veut dire que la science est sur le chemin de prouver la relation que l’on soupçonne d’exister depuis longtemps entre la gravitation et la conscience. Plus précisément : la gravitation et la conscience forment des dipôles opposés.

 

L’effet de l’ADN Fantôme

 

Une preuve sensationnelle pour la théorie de Pitkänen est basée sur les travaux d’une équipe de chercheurs interdisciplinaires de l’Académie de Sciences de Moscou, sous la direction du biologiste moléculaire et biophysicien, Dr. Pjotr. P. Garjajev.

 

Garjajev et son collègue, le physicien quantique, le Dr. Vladimir Poponin, ont fait une observation insolite en mesurant les vibrations émises par des échantillons d’ADN.

 

Ils ont irradié un échantillon d’ADN avec la lumière laser, et ont obtenu, sur un écran, un modèle typique d’ondes. S’ils enlevaient l’échantillon d’ADN, ces ondes ne disparaissaient pas, comme on pouvait s’y attendre. Mais persistaient, sous forme de structure régulière, comme s’il y avait toujours un échantillon matériel. Comme l’ont démontré des expériences contrôles, ces ondes devaient provenir, sans aucun doute, de l’ADN qui n’était plus présent ! Une expérience à vide, c’est-à-dire sans échantillon, ne donnait qu’une courbe d’ondes aléatoires. L’effet était reproduisible à volonté. On l’appelle aujourd’hui, l’effet ADN Fantôme.

L’explication scientifique de ce phénomène est que l’ADN lui-même semble produire des ondes dans le vide (vacuum), à travers lequel une vermoulure magnétisée se produit, induite par la présence de matière vivante, qui peut persister, selon les cas, plusieurs mois. C’est ce que les recherches de Garjajev et de son collègue ont démontré.

Au début des années soixante, le biologiste britannique Rupert Sheldrake, de l’université de Cambridge a établi sa fameuse théorie sur les champs morphogénétiques. Chaque être humain, de même que chaque être vivant, laisse une trace invisible de son existence. Pour la première fois, Pjotr Garjajev a pu rendre visible cette trace dans un laboratoire. La question est la suivante : à quoi sert cette trace ? Avec qui ou avec quoi « chuchotent» nos gènes ? Comment communique l’ADN, et dans quel but le fait-il ?

Le plus surprenant est que tous les résultats indiquent que l’ADN n’est soumis à aucune limitation, en ce qui touche à sa faculté de communication.

 

Hyper communication

 

D’après la théorie de Pitkänen, cette communication ne se fait pas de manière classique, mais à travers les trous de ver magnétisées. C’est-à-dire hors de l’espace-temps, soit à travers les dimensions plus élevées de l’hyper-espace. On parle de ce fait d’hyper communication.

Cette hyper communication ne paraît pas avoir un but limité ou particulier : elle représente un point d’intersection vers ou dans un réseau ouvert :

Un réseau de conscience ou réseau du vivant.

 

Comme dans l’internet, l’ADN peut :

 

  • Introduire ses propres données dans ce réseau.
  • Extraire des données de ce réseau.
  • Établir un contact direct avec d’autres participants de ce réseau.

On peut dire, d’une certaine façon, que l’ADN possède sa propre « page internet ». Il peut « surfer » et il peut « chatter » avec d’autres participants. Ce qui est plus incroyable encore, c’est que l’ADN n’est pas limité à sa propre espèce, comme on pourrait peut-être le croire. L’information génétique d’êtres différents peuvent également « échanger » entre eux, entre différentes formes de vie.

 

L’hyper communication devient donc la première interface à travers laquelle les formes d’intelligence les plus variées sont unies, dans l’univers, entre elles.

 

Une autre application très importante de l’hyper communication est représentée par la conscience de groupe, soit la possibilité, pour des groupes d’individus ou d’animaux, de pouvoir agir de manière coordonnées, comme un ensemble. Mais, comme le montrent les essais, la portée de l’hyper communication est encore plus vaste.

Les conséquences, concernant la compréhension du processus d’apprentissage chez l’humain, sont immenses.

Notre corps humain est constitué par des cellules, et chacune d’elles contient une molécule d’ADN. Nous savons à présent que par cette voie, des milliard d’antennes de communications sont constamment en action. Notre conscience, apparemment, ne s’en est pas rendue compte, à ce jour. Ou peut-être si ?

Au cours de l’histoire, il y a toujours eu quelques individus spéciaux qui ont fait évoluer l’humanité, par des idées révolutionnaires, scientifiques ou culturelles. Mais personne ne s’est sérieusement posé la question de la manière dont ceci était possible.

On a parlé de créativité, donc de la faculté à penser de manière nouvelle et différente, de créer des réalités virtuelles qui ont pu être appliquées dans la réalité. Mais l’étincelle, l’inspiration, la découverte en elle-même, n’ont jamais été expliquées. Elles n’étaient jamais le résultat d’une pensée logique et rationnelle. Toujours, il semblait qu’elle se présentait soudainement, comme une évidence, venue de nulle part.

 

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Est-ce qu’une telle information pourrait procéder à travers les canaux d’hyper communication de l’ADN ? Et si oui, d’où vient telle? Est-ce qu’une telle hypothèse peut être prouvée ?

 

La science exige, comme preuve, la répétitivité d’une expérience, dans des conditions contrôlées d’un laboratoire. Peut on provoquer la créativité ou l’inspiration en laboratoire, et générer dans un être humain un savoir jusque-là inconnu et inédit ?

Cette question pose un véritable défi , mais elle peut aussi être abordée, par des méthodes scientifiques actuelles, du moins partiellement.

Notre corps ne peut pas seulement générer de la lumière, sous forme de bio photons, mais il est également en mesure d’extraire de la lumière de l’environnement. Il peut même stocker cette lumière, notamment dans l’ADN, qui est également le plus impliqué dans la radiation bio photonique.

Par sa forme caractéristique de double hélice, l’ADN est une antenne électromagnétique idéale. D’une part, il est allongé, et par là une antenne droite qui peut très bien capter les impulsions électriques. D’autre part, il est également circulaire (vu d’en haut) et par là, il est aussi une excellente antenne magnétique.

 

Que se passe-t-il au niveau de l’énergie électromagnétique captée par l’ADN ?

 

Elle est tout simplement stockée, par le fait que la biomolécule géante se met à vibrer, par résonance. Ce système, en physique, s’appelle un oscillateur harmonique.

Un tel oscillateur rend également l’énergie qu’il a stockée, au bout d’un certain temps, ce qui peut être observé en chambre noire. Ainsi, le temps nécessaire pour ce processus est une mesure pour sa faculté de stockage énergétique. Les physiciens appellent cela la capacité (mesure) de résonance.

On a découvert que la résonance de l’ADN est nettement plus élevée que dans les systèmes d’oscillateurs techniques des laboratoires de physique. Ce qui signifie que les pertes d’oscillation sont minimes.

 

Cette découverte corrobore ce qu’on suspectait depuis longtemps : l’ADN est un supraconducteur organique, qui plus est, travaille à température du corps !

 

La science a encore beaucoup à apprendre de la nature… Chaque être humain porte donc dans chaque cellule de son corps une « mécanique » technique surpuissante : un micro chip avec trois gigabits de capacité de stockage, qui extrait des information électromagnétiques de son entourage, qui stocke cette information et qui peut également la retransmettre, possiblement modifiée.

Les données techniques de l’ADN en tant qu’antenne oscillatoire sont rapidement établies. Nous savons que la molécule d’ADN fait environ deux mètres, étendue, ce qui veut dire qu’elle a une fréquence propre de 150 Mégahertz. Encore un chiffre intéressant, car cette fréquence est insérée dans la bande spectrale des micro ondes, des télécommunications et du radar.

 

Nous utilisons donc la même bande fréquence à des buts de repérage et de communication

 

La déduction s’impose : les ondes mobiles de télécommunications peuvent influencer directement notre ADN. L’ADN peut également stocker toutes les ondes harmoniques de 150 Mégahertz, donc également la lumière visible.

 

L’ADN Micro chip

 

Tandis que l’équipe de Pjotr Garjajev étudiait surtout l’aspect software de l’ADN, Dr. Ehud Shapiro et son équipe, du Weizmann Institute of Science à Rehovot, en Israel, se penchait sur les questions du hardware qui va avec. Leur travail est un autre pas important pour la compréhension du bio ordinateur ADN. Mais en même temps s’entrouvrent des perspectives qu’on peut considérer comme particulièrement dangereuses. C’est le premier pas vers un lien machine humain, qui pourrait mener vers une totale programmation de l’être humain, basé sur l’ADN.

 

L’une des principales différences entre l’ADN et votre ordinateur est que le bio ordinateur ADN ne peut pas fonctionner de manière isolée. L’ADN n’est pas un ordinateur complet, mais plutôt une sorte de software qui nécessite, pour son fonctionnement, un « entourage et/ou environnement hardware », qu’il trouve dans la cellule vivante, dans laquelle se trouvent aussi des enzymes, qui en tant que « hardware » peuvent avoir accès au programme ADN et le mettre en route, en dirigeant la synthèse de protéines dans la cellule. C’est ainsi que le corps est bâti, et que la vie est maintenue.

 

Que se passerait-il si l’ADN dans une cellule activait un autre programme que celui qui est le sien ?

 

Les enzymes de la cellule produiraient alors autre chose que ce qu’elles font habituellement. Savoir si cela serait positif ou négatif pour le corps, c’est une autre affaire. Cela dépendrait de manière déterminante de ce programme modifiée.

Dans la nature il existe déjà quelque chose de ce genre : ce sont de microscopiques organismes, constitués par une molécule d’ADN et par une couche externe de protéines. On les appelle virus, et ils sont à la limite entre l’inanimé et le vivant, ce sont pratiquement des « programmes software en attente ». Comme un CD-ROM dans votre bibliothèque, qui a besoin que vous l’insériez d’abord dans votre ordinateur avant de pouvoir lire le programme stocké.

Les scientifiques ont déjà copié les méthodes des virus. L’équipe de Shapiro, par exemple, a réussi à enseigner à compter à des bio ordinateurs ADN, in vitro. Les trillons et multiples trillions de « microprocesseurs » en solution aqueuse travaillent environ 100’000 fois plus vite que n’importe quel ordinateur actuellement existant, et génèrent même leur propre énergie dont ils ont besoin pour leurs prouesses de comptage.

Pour pouvoir dérouler ce programme, un ADN spécialement configuré doit être mis en solution aqueuse, qui contient les enzymes nécessaires à la fonction correcte du bio ordinateur, comme c’est le cas dans une cellule vivante. Le processus de calcul se passe alors dans les myriades de mini bio ordinateurs en réseau, à vitesse de l’éclair, par reproduction de l’ADN qui active les enzymes productrices de protéines. Après un certain temps, on vérifie les chaînes d’ADN produites, pour connaître le résultat du calcul du programme. Actuellement, cela se fait par le biais de l’analyse des molécules de l’ADN.

 

L’Onde Soliton de l’ADN

 

Le stockage de lumière et d’information dans l’ADN se fait au moyen d’une onde spéciale, qu’on appelle également onde soliton. Elle entoure la molécule d’ADN. C’est une onde non linéaire, soumise à des lois compliquées appelées « la grille de Fermi-Pasta-Ulam ».

Une onde soliton est une unité dynamique, fermée en elle-même, qui ressemble à une particule de matière. Les ondes soliton sont très extraordinairement longèves et ne modifient pratiquement pas leur forme. Elles sont donc prédestinées pour conserver et stocker, sur une longue durée, des modèles d’information. Il est probable que ces ondes contiennent encore un potentiel humain absolument inédit.

 

L’ADN fractal et le temps

 

Par la forme spéciale de l’onde soliton dans l’ADN, on obtient de nombreuses répétitions et autoreproductions dans le code génétique. Cela signifie que l’information dans l’ADN des cellules n’est pas lue de manière linéaire. Au lieu de cela, la lecture se fait en avant et en arrière/arrière en avant, et de haut en bas/bas en haut, et parfois on retourne au point de départ.

 

La communication de l’ADN suit également des règles fractales

 

Elle se fait de manière non locale. C’est-à- dire que l’ADN peut communiquer avec des porteurs d’informations très lointains, sans être soumis à l’espace ni au temps. Cet effet repose sur un paradoxe scientifique bien connu appelé Einstein-Podolski-Rosen, ou Paradoxe EPR. Il explique que deux particules de matière, qui ont été ensemble une fois et qui ont été séparées, restent pour toujours en relation. Si l’une des deux particules, par la suite, est soumise à une modification, l’autre particule réagit immédiatement, même si elles sont séparées entre-temps par des années-lumière.

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La structure fractale de l’onde Soliton de l’ADN rend donc possible, que l’ADN communique avec des porteurs d’information, peut-être même dans l’espace.

 

Par sa non localité de cette forme de communication, la loi bien connue de cause à effet est invalidée. Garjajev écrit : « Cause et effet ne sont pas séparés par le temps.si l’on conçoit le temps comme un chemin vers l’organisation d’une chaîne d’événements. Ceci nécessite une unité temporelle fractale compliquée, c’est pourquoi Einstein ne l’a pas reconnue ».

D’après Garjajev, cette non localité quantique est une fonction clé de l’auto organisation de la matière vivante. Non seulement il y a des formes de communication non physiques, comme, par exemple la télépathie. La communication EPR peut transmettre, en temps zéro, une multitude de données, par exemple à travers le scanning rapide et automatique de la polarisation de photons.

La question qui se pose alors est pourquoi les êtres humains ne communiquent pas tout le temps de cette manière ? Pourquoi notre corps a-t-il développé un système nerveux, qui communique pratiquement à une vitesse d’escargot avec seulement 8-10 m par seconde ? Garjajev en connaît la raison: la communication EPR est beaucoup trop rapide pour le traitement des données par notre conscience, tout simplement !

 

Le proto langage de l’humanité ou langue souche

 

Nous parlons aujourd’hui du code génétique de manière routinière, comme d’un système de codage d’information. Mais la génétique n’a pas dévié par rapport à cette position et a continué son travail en utilisant uniquement les outils de la chimie, au lieu de demander du renfort de la part d’experts en linguistique. Il en a été tout autrement à Moscou, dans le groupe de Garjajev. Pour l’examen de l’ADN, ils ont également consulté et inclus des linguistes.

Lorsqu’on étudie une langue, un étudie des lois comme, par exemple, la syntaxe, la sémantique ainsi que les bases de la grammaire.

 

Si l’on applique les résultats scientifiques au code génétique, on s’aperçoit que ce code est soumis aux mêmes règles que nos langues humaines.

 

Bien entendu, ce ne sont pas les règles d’une langue en particulier. La « construction » du code génétique peut donc être relationné à n’importe quelle langue humaine !

Depuis des siècles, les scientifiques recherchent le langage souche dont seraient issues toutes les langues du monde… Pjotr Garjajev et ses collègues l’ont peut-être trouvé.

Dans des expériences du groupe de Moscou, il a pu être démontré que les codes existant dans l’ADN ne sont pas seulement utilisés pour construire des protéines dans notre corps, comme c’est le cas pour les gènes. Le code de l’ADN est plutôt utilisé pour la communication, plus précisément, pour l’hyper communication. Ou exprimé autrement : la nature est en réseau (online) ! Et cela implique la totalité de la nature, dont les codes génétiques suivent une grammaire très similaire.

 

Comme l’a si bien exprimé le Dalai Lama :

 

« Tout ce qui est, n’est que parce qu’il communique avec le tout. Rien n’existe en soi, individuellement ; Tout a son existence dans l’autre » !

L’ADN humain est un Internet biologique et supérieur sur de nombreux aspects à l’artificiel.
La plus récente recherche scientifique russe explique directement ou indirectement, des phénomènes tels que la clairvoyance, l’intuition, de spontanéité d’actes de guérison à distance, l’auto guérison, les techniques de l’affirmation, peu de lumière / auras autour de personnes (à savoir les maîtres spirituels), l’esprit de l’influence sur les conditions météorologiques et bien plus encore.

En outre, il existe des preuves d’un tout nouveau type de médecine dans lequel l’ADN peut être influencé et reprogrammé par des mots et des fréquences sans couper et remplacer des gènes uniques.

 

Seulement 10% de notre ADN est utilisé pour la construction des protéines

 

C’est ce sous-ensemble de l’ADN qui a de l’intérêt pour les chercheurs et l’ouest et qui est en cours d’examen et de classement. Les autres 90% sont considérés comme de l’ « ADN POUBELLE ». Les chercheurs russes, cependant, convaincus que la nature n’est pas stupide, a rejoint des linguistes et des généticiens dans une entreprise afin d’explorer les 90% d’ADN POUBELLE. Leurs résultats, les conclusions sont tout simplement révolutionnaire!

Selon eux, notre ADN n’est pas seulement responsable de la construction de notre corps, mais sert également de stockage de données et de la communication. Les linguistes russes ont constaté que le code génétique, en particulier dans les 90% apparemment inutiles, suit les mêmes règles que toutes nos langues humaines.

Ils ont constaté que les éléments alcalins basiques de notre ADN suivent une grammaire régulière ont établi des règles, tout comme nos langues. Ainsi, les langues de l’homme ne semble pas être un hasard mais sont le reflet de notre propre ADN.

 

Le biophysicien et biologiste moléculaire russe Garjajev Pjotr et ses collègues ont aussi exploré les comportements vibratoires de l’ADN.

 

Vivre, tout comme la fonction des chromosomes solitonic / holographique ordinateurs utilisant le rayonnement laser ADN endogène. Cela signifie que par exemple ils ont réussi à moduler la fréquence de certains modèles sur un rayon laser et, avec elle influencer ADN donc la fréquence d’information génétique elle-même. Étant donné que la structure de base de l’ADN – alcaline et les paires de langues  sont de la même structure, pas de décodage de l’ADN est nécessaire.

 

On peut simplement utiliser des mots et des phrases du langage humain!

 

La substance vivante ADN ont toujours réagit à la langue en modulation des rayons laser et même des ondes radio, si les fréquences sont utilisées. Cela explique enfin pourquoi et scientifiquement les affirmations, l’entraînement autogène, l’hypnose et autres qui peut avoir des effets sur les humains et leur corps. Il est tout à fait normal et naturel de notre ADN puisse réagir à la langue.

Les Russes ont travaillé avec enthousiasme sur les dispositifs qui peuvent influencer le métabolisme cellulaire grâce à une modulation de fréquences radio et de la lumière et donc la réparation des défauts génétiques.

Le groupe de recherche Garjajev a réussi à prouver que cette méthode chromosomes endommagés par les rayons X par exemple, peuvent être réparés. Ils ont même pris les modes d’information d’un ADN particulier et l’a transmis à un autre, donc re-programmation du génome des cellules à un autre. Ils ont donc réussi à transformer, par exemple, des embryons de grenouille salamandre embryons simplement en transmettant les informations ADN modèles! De cette manière, l’ensemble de l’information a été transmis, sans aucun des effets secondaires ou des déséquilibres rencontrés lors de la coupe et de re-introduire un seul gène de l’ADN.

 

Cela représente une révolution incroyable mondiale, dans la transformation et la sensation!

 

Tout cela en appliquant simplement des vibrations et la langue au lieu de l’archaïque procédure de découpage! Cette expérience souligne l’immense puissance de la vague génétique, ce qui évidemment a une plus grande influence sur la formation d’organismes que les processus biochimiques de séquences alcalines. Esotérique et maîtres spirituels ont su pendant des siècles que notre corps est programmable par le langage, les mots et la pensée.
Cela a été scientifiquement prouvée et expliquée.

La personne doit travailler sur les processus internes et de la maturité, afin d’établir une communication consciente avec l’ADN. Les chercheurs russes travaillent sur une méthode qui n’est pas dépendante de ces facteurs, mais toujours, si on utilise la fréquence correcte.

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Mais, le plus élevé développement de la conscience humaine de l’individu est, plus le besoin est là pour tout type de dispositif!

 

On peut obtenir ces résultats par soi-même et enfin cesser de rire de ces idées et de confirmer et expliquer les résultats.

 

Les scientifiques russes ont également découvert que notre ADN peut provoquer inquiétantes tendances dans le vide, produisant ainsi des trous de ver magnétique ! Les trous de ver sont les équivalents microscopiques de la soi-disant Einstein Rosen ponts à proximité des trous noirs (à gauche brûlée par des étoiles). Ces tunnels sont les connexions entre les différents domaines de tout l’univers à travers lequel des informations peuvent être transmises en dehors de l’espace et du temps.

L’ADN attire ces bribes d’informations et les transmet à notre conscience. Ce processus d’hyper communication est plus efficace dans un état de relaxation.

Stress, soucis ou hyperactivité intellectuelle annihilent le succès des hyper communication ou de déformement de l’information et la rend inutile. Dans la nature, hyper communication ont été appliquée avec succès pour des millions d’années. L’organisation des flux de la vie des insectes dans différents états le prouve de façon spectaculaire. L’homme moderne connaît ceci sur un niveau beaucoup plus subtil que « intuition ». Mais on peut, aussi en retrouver le plein usage.

 

Chez l’homme, hyper communication est le plus souvent rencontrés lors d’un soudain accès à l’information qui est en dehors de la base de connaissances.

 

Cette hyper communication est alors connu comme l’inspiration ou l’intuition. La majorité des faits sont en dehors de la connaissance personnelle de base et atteint les détails techniques parfois impressionnant.

Les effets indésirables rencontrés le plus souvent dans hyper communication aussi des êtres humains sont inexplicables des champs électromagnétiques à proximité des personnes concernées. Les appareils électroniques comme les lecteurs de CD et autres peuvent être irrités et cessera de fonctionner pendant des heures. Lorsque le champ électromagnétique se dissipe lentement, les dispositifs fonctionnent de nouveau normalement.

Maintenant que nous sommes assez stable dans notre conscience individuelle, nous pouvons créer une nouvelle forme de conscience de groupe, à savoir, dans lequel nous atteindrons l’accès à toutes les informations par l’intermédiaire de notre ADN, sans être forcé ou à distance sur ce qu’il faut faire avec cette information.

Nous savons maintenant que, tout comme sur l’Internet notre ADN peut alimenter son réseau de données. Il peut faire appel à des données du réseau et peut établir le contact avec d’autres participants dans le réseau.

 

La guérison à distance, la télépathie ou télédétection peuvent donc être expliquée de façon rationnelle

 

Certains animaux savent aussi de très loin lorsque leurs propriétaires est de retour à la maison. Cela peut être interprété et expliqué fraîchement par les notions de conscience de groupe et d’hyper communication. Toute prise de conscience collective ne peut pas être raisonnablement utilisée sur une période de temps sans le signe distinctif de l’individualité. Sinon, on reviendra à un instinct grégaire primitif qui est facilement manipulé.

 

Hyper communication dans le nouveau millénaire, signifie quelque chose de tout à fait différent:

 

Les chercheurs pensent que si l’homme retrouve son individualité il peut retrouver la conscience de groupe, ils ont un dieu, comme le pouvoir de créer, de modifier et de former des choses sur Terre! L’humanité est collectivement appelée à aller vers une telle conscience de groupe, une nouvelle nature.

Cinquante pour cent des enfants d’aujourd’hui seront des enfants à problème dès l’arrivée à l’école. Quelque chose dans ces enfants s’efforce d’aller de plus en plus vers la conscience de groupe de la nouvelle nature, et il ne pourra pas en être autrement.

 

Conditions météorologiques

 

En règle générale, les conditions météorologiques sont plutôt difficile à influencer par une seule personne. Mais elle peut être influencé par une conscience de groupe. Le climat est fortement influencé par des fréquences de résonance de la Terre, que l’on appelle les fréquences de Schumann.

Mais ces mêmes fréquences sont également produites dans nos cerveaux, et que beaucoup de personnes synchronisent leur pensée ou de personnes (maîtres spirituels, par exemple) concentrent leurs pensées dans un laser comme la mode, il est scientifiquement parlant pas du tout étonnant si elles peuvent donc influencer la météo.

 

Les chercheurs de la conscience de groupe ont formulé une théorie de type :

 

Civilisations de Type I

 

Une humanité qui a développé une conscience de groupe de la nouvelle sorte n’aurait ni problèmes de l’environnement, ni la rareté de l’énergie. Car si elle utilise sa puissance mentale comme une seule civilisation, il aurait le contrôle de l’énergie de sa planète comme une conséquence naturelle. Et cela inclut toutes les catastrophes naturelles!

 

Civilisation de Type II

 

Cette civilisation serait même en mesure de contrôler toutes les énergies de leur galaxie. Chaque fois un grand nombre de personnes concentrent leur attention ou conscience sur quelque chose de semblable, comme le temps de Noël, du championnat du monde de football ou les funérailles de Lady Diana en Angleterre, alors certains générateurs aléatoire de nombres commencent à fournir des nombres ordonnés au lieu des numéros aléatoires. Une conscience de groupe ordonnée crée l’ordre dans l’ensemble de son environnement !

Quand un grand nombre de personnes se rassemblent de très près, le potentiel de violence aussi se dissout. Il semble que, là aussi, une sorte de conscience humanitaire de toute l’humanité est créée.

Le nom de l’événement n’est pas considéré comme la cause ici. Le résultat d’une analyse plutôt indiqué que le nombre de personnes était trop grand pour permettre un basculement à la violence.

 

Pour revenir à l’ADN:

 

Il est apparemment aussi un supraconducteur organique qui peut fonctionner à la température normale du corps. Les super conducteurs artificiels exigent des températures extrêmement basses entre 200 et 140 ° C pour fonctionner. Comme on l’a appris récemment, tous les supra conducteurs sont capables de stocker la lumière et donc de l’information. Ceci est une explication plus détaillée de la façon dont l’ADN peut stocker de l’information.

Il est un autre phénomène lié à l’ADN et des trous de ver. Normalement, ces trous de ver très petits sont très instables et sont maintenues que pour les plus in mes fractions de seconde. Sous certaines conditions, la stabilité des trous de ver peuvent s’organiser sous une forme distinctive qui vide les domaines dans lesquels par exemple la gravité peut se transformer en électricité.

 

Autrement dit, ces phénomènes ont un rapport avec la gravité et les forces anti-gravité de plus en plus stable et l’hyper communication.

 

Nous avons simplement fait un autre pas de géant vers la compréhension de notre réalité. La Science officielle connaît aussi des anomalies de la gravité sur Terre (qui contribuent à la formation de domaines de vide), mais seulement de ceux de moins de un pour cent. Mais récemment, la gravité des anomalies a été constatée entre trois et quatre pour cent.

 

Article en allemand, paru dans RAUM und ZEIT 13.8.2005, de Grazyna Fosar et Franz Bludorf, Berlin Traduction vers le français Isabella Heim.

1 réflexion sur “L’ADN communique dans l’univers”

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