Depuis des millénaires, nos ancêtres vivaient en harmonie avec la Terre mère, les entités de la nature et le monde invisible. Ils savaient intuitivement que chaque plante, chaque rivière, chaque pierre était habitée d’une conscience et qu’il était vital de collaborer avec ces forces pour coexister en paix.
Dans leur vision, il n’y avait pas de séparation entre le visible et l’invisible, entre l’humain et la nature. Cette biodiversité universelle, à la fois tangible et subtile, formait un tout cohérent. Les anciens respectaient les esprits de la forêt, les entités de la nature, les génies de l’eau, les ancêtres et les cycles lunaires. Le sacré était partout, car ils comprenaient que leur survie et leur futur dépendaient d’une relation consciente avec le vivant.
Aujourd’hui, cette sagesse est oubliée ou reléguée au rang de folklore. Pourtant, elle détient les clés d’un changement fondamental.
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Une perception fracturée : nous avons rompu le lien
Dans notre monde moderne, nous sommes de plus en plus déconnectés. Nous avons placé des murs entre nous et la nature, entre nous et notre ressenti, entre nous et ce qui ne se voit pas. Le monde subtil a été balayé par des siècles de rationalisme, de dogmes religieux, de technologies envahissantes et d’habitudes mentales rigides.
Parler d’entités de la nature, de présences invisibles ou de guides subtils semble souvent absurde ou farfelu. Pourtant, de nombreuses personnes ressentent aujourd’hui, sans toujours pouvoir l’expliquer, des signes, des présences, des intuitions profondes. Ce ne sont pas des hallucinations, mais les premiers frémissements d’un réveil de conscience.
Nous sommes entourés d’une biodiversité bien plus vaste que celle que nos yeux perçoivent. Elle est là, toujours vivante, vibrante, mais nous avons perdu les clés de lecture.
Soumission spirituelle : quand les dogmes remplacent l’expérience
Historiquement, les grandes religions ont remplacé la relation directe au vivant par une structure verticale : un Dieu lointain, des saints, des temples, des règles. En sacralisant certains lieux et en niant la sacralité de la Terre, elles ont contribué à déposséder l’humain de sa puissance intérieure.
Ainsi, la nature a cessé d’être notre partenaire pour devenir un décor à exploiter ou une création secondaire. Le divin est devenu quelque chose d’extérieur, auquel il fallait obéir. Cette soumission nous a éloignés de notre mission : celle de co-créateurs conscients de notre réalité.
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Dans cette logique, nous avons peu à peu cessé d’écouter la Terre, de nous relier aux éléments, de recevoir les messages du subtil. Résultat : une société coupée du vivant, stressée, malade et en quête de sens.
Nous sommes la biodiversité universelle incarnée ainsi que les entités de la nature
Il est temps de rappeler une vérité simple : nous ne sommes pas séparés du vivant, nous en sommes une expression. Notre corps est fait des mêmes éléments que la Terre. Notre souffle est le souffle du monde. Nos cellules vibrent à l’unisson avec le cosmos.
La biodiversité universelle, ce n’est pas seulement la diversité des plantes ou des espèces animales. C’est l’ensemble des formes de vie visibles et invisibles, terrestres et cosmiques, énergétiques et matérielles, conscientes et inconscientes, dans lequel nous sommes totalement immergés.
Nous avons le pouvoir de renouer avec cette richesse. Pas en l’étudiant de loin, mais en redevenant participants actifs de cette symphonie.
Cela passe par :
- La présence à ce qui est vivant autour de nous, ceci comprenant les entités de la nature…
- L’écoute intérieure et l’intuition
- Le respect de toutes les formes de vie
- L’ouverture à l’invisible, sans peur
- La gratitude envers les forces naturelles
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Le grand retour à la conscience du Tout
Nous vivons une époque paradoxale : jamais l’humanité n’a été aussi avancée technologiquement, et jamais elle n’a été aussi coupée de son essence. Cette rupture se manifeste dans la crise climatique, dans l’épuisement des ressources, dans la montée de la détresse psychique.
Mais cette crise est aussi une opportunité spirituelle majeure. Elle nous pousse à redéfinir notre place. À quitter le rôle de consommateurs pour devenir gardiens. À sortir de l’impuissance pour redevenir co-créateurs du vivant.
C’est en retrouvant le lien avec la biodiversité universelle et les entités de la nature, en reconnaissant la présence sacrée de la Terre, des esprits, des arbres, des ancêtres, que nous pouvons transformer notre monde. Ce n’est pas un rêve new-age. C’est une réalité ancestrale qui cherche aujourd’hui à revenir.
Comment renouer avec les entités de la nature ?
Voici quelques pistes concrètes pour faire ce retour à la conscience du vivant :
- Marcher pieds nus sur la Terre : simple, mais puissant pour se reconnecter à l’énergie du sol
- Parler à la nature : arbres, rivières, roches… Ils écoutent
- Honorer les éléments (eau, feu, air, terre, éther) par des gestes simples de reconnaissance
- Créer un autel naturel chez soi, avec des objets qui symbolisent le vivant
- Observer les synchronicités, les rêves, les sensations fines
- Se relier aux cycles lunaires et solaires, comme le faisaient nos ancêtres
- Travailler sur les croyances limitantes, souvent héritées, qui nous coupent du subtil
Ce retour n’est pas instantané. Il se fait avec douceur, avec intention, parfois dans le silence. Mais il transforme profondément la manière dont nous vivons, choisissons, et aimons.
Nous ne sommes pas seuls
Dans cette démarche de reconnexion, il est essentiel de se rappeler que nous ne sommes pas seuls. Des milliers de personnes dans le monde ressentent cet appel. Il existe une communauté vibratoire de plus en plus vaste, faite de chercheurs, de chamans, d’énergéticiens, de simples âmes en éveil.
Il existe aussi tout un univers invisible qui attend patiemment que nous rouvrions les portes : esprits de la nature, guides spirituels, ancêtres bienveillants.
La biodiversité universelle n’est pas un concept abstrait. C’est une réalité vivante, dynamique, évolutive, et nous sommes invités à y reprendre notre place. Non comme dominants, ni comme soumis, mais comme partenaires conscients.
💬 Conclusion : une responsabilité sacrée
Réintégrer la biodiversité universelle et les entités de la nature, c’est accepter que notre mission va bien au-delà de la survie matérielle. C’est redevenir conscient de l’interconnexion sacrée qui unit tous les règnes, visibles et invisibles. C’est choisir de vivre avec plus de présence, d’écoute, de respect, et de magie.
Il ne s’agit pas de revenir en arrière, mais d’avancer avec mémoire et lucidité, en unifiant science, spiritualité, et amour du vivant. Nous avons le pouvoir de transformer le monde. Cela commence par reconnaître que nous en faisons partie intégrante, que nous sommes déjà cette biodiversité incarnée.
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