Christelle Firework

QHHT | Rien n est jamais figé dans la forme - Christelle Firework

QHHT | Rien n’est jamais figé dans la forme (mémoires familiales, magie noire, entité, implants)

C’est une séance très intéressante que nous propose nicolas qui nous transmet grosso modo que rien n’est jamais figé dans la forme. Nous allons découvrir ce qu’il essait de nous transmettre à travers son exploration. Nicolas se retrouve dans une plaine avec de l’herbe. Il est très mat et porte des vêtements de couleur beige assez amples en matière naturelle, il semble ressembler à un péruvien ou un indien d’Amérique. Il se déplace ensuite vers une forêt sombre à l’aspect inquiétant qui se transforme en noirceur. Un autre espace apparait d’un aspect plutôt préhistorique avec un nature qui semble en colère.

 

 

Je lui demande de flotter et il se retrouve dans l’espace. Il aperçoit un vaisseau qui semble vide, sans lumière et sans vie. Après quelques investigations et compréhensions dans et autour de ce vaisseau … Nous appelons un être qui souhaiterait communiquer avec nous à travers cette séance. Un sage très âgé se présente, il se nomme Xoron. Xoron serait gardien des temps infinis.

 

Rien n’est jamais figé dans la forme …

Je veux que tu comprennes ce qui t’es donné

C’est une séance que je trouve personnellement très intéressante compte tenu de tous les éléments qui nous sont transmis par Nicolas … Notamment concernant nos attentes, nos projections et nos jugements vs ce qui doit être et ce que nous devons incarner. Bonne écoute à vous.

 

Concernant le temps

Nous savons depuis toujours (ou presque) que nous vivons dans un certain espace et pendant un certain temps. Cette connaissance empirique est devenue scientifique avec notre ami Albert Einstein qui nous a fait prendre conscience que nous nous déplacions dans un monde spatio-temporel où l’espace et le temps avaient même valeur. Certains philosophes nous disent même que le présent n’existe pas, puisque dès qu’on a pris conscience de l’instant présent, il est déjà devenu du passé. Mais en fait, on peut quantifier le présent : il dure environ 10-43 seconde et s’appelle le temps de Planck. Physiquement parlant, le temps de Planck est le temps que mettrait un photon pour parcourir la distance de Planck, c’est-à-dire la plus petite distance que l’on peut mesurer (environ 1,6. 10-35 m).

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Donc, de temps de Planck en temps de Planck, notre univers temporel avance toujours dans la même direction, et ce, depuis le premier temps de Planck qui a suivi le Big Bang. Pas moyen toutefois de savoir ce qu’il y a eu avant ce premier temps. Il est un peuple ou plutôt une civilisation qui estimait que le temps ne se représente pas sous la forme d’une flèche pointant toujours dans la même direction, mais d’une roue tournant à un certain rythme et ramenant à intervalles réguliers les mêmes événements dans les mêmes circonstances. Attention, il ne s’agit pas de l’application du principe « Les mêmes causes provoquent les mêmes effets » ou encore « l’histoire est un éternel recommencement ». Dans ces aphorismes, il n’est pas question du temps. Cette civilisation, c’est celle des Mayas.

 

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