Nous vivons dans un monde où la bêtise, l’ignorance et la vulgarité semblent régner en maîtres. Cette observation, aussi amère soit-elle, est le point de départ d’une réflexion profonde sur la nature de notre réalité et les mécanismes qui nous maintiennent dans un état de sommeil collectif. Il est stupéfiant de constater à quel point la tromperie dans laquelle nous baignons est grossière, de plus en plus visible et pourtant, si peu de gens en saisissent l’ampleur. Nous sommes immergés dans un gigantesque mensonge auquel la majorité adhère avec une foi aveugle, une sorte de consensus tacite qui confine à l’absurde. C’est le cœur même de ce que nous appellerons la matrice de l’ignorance.
L’ignorance prospère alors même que l’information est omniprésente. Elle ne demande qu’à être explorée, à se manifester pour offrir une compréhension plus juste de ce qui se déroule ici-bas. Certes, certains d’entre nous s’engagent dans cette quête de vérité, mais une multitude se contente de l’information pré-mâchée, sans jamais chercher à en sonder les fondements. Dès l’instant où nous nous aventurons au-delà des apparences, où nous mettons en lumière les fils invisibles qui relient les événements, une mascarade se révèle, une manipulation tentaculaire qui s’est tissée au sein de l’humanité depuis des éons, consolidant ainsi la matrice de l’ignorance.
L’Illusion de la Matière et la Perte de notre Providence Céleste
L’un des aspects les plus prégnants de cette illusion est notre obsession pour la matière. Nous nous gargarisons de possessions matérielles comme si elles étaient l’unique réalité de notre existence et de l’univers. Nous avons été conditionnés à nous gaver de matière, occultant ainsi une réalité non matérielle, mais pourtant bien réelle et existante. Cette quête effrénée de la jouissance matérielle nous a fait perdre de vue notre providence céleste et divine. Pire encore, nous avons cessé d’y croire. Lorsque ces sujets sont abordés avec « le commun des mortels », leur réponse trahit souvent un déni profond, une ignorance abyssale d’eux-mêmes, renforçant la matrice de l’ignorance.
L’individu lambda naît, travaille toute sa vie, et meurt dans cette ignorance, sans jamais en questionner la pertinence. Il n’a pas compris la raison profonde de sa présence ici. Il n’a pas saisi qu’il se devait de se réaliser dans la globalité de son être pour permettre à la Terre de transmuter les énergies pénibles accumulées par l’existence humaine. Ces énergies, que nous rencontrons tous et auxquelles nous accordons une validité inconditionnelle, sont pourtant là pour être transmutées et nettoyées. C’est notre rôle, notre mission, pour permettre à la Terre de conserver un environnement sain et de maintenir en vie le vivant, qui se trouve de plus en plus menacé.
Ce gigantesque mensonge est si grossier qu’il est sidérant de voir tant de personnes passer à côté, continuant à perpétuer, jour après jour, l’ascension de la destruction de la nature et de l’humanité. Leurs pensées et leurs actes, souvent inconscients, contribuent à ce déclin sans qu’ils ne s’en soucient.
Nous sommes les architectes de notre réalité, individuellement puis collectivement. L’état actuel de la Terre n’est rien d’autre que le reflet de ce que nous sommes devenus. Au lieu de nettoyer ce chaos, nous le perpétuons, nous précipitant ainsi vers notre propre perte, emprisonnés dans la matrice de l’ignorance.
Le Mythe de la Démocratie et l’Asservissement du Peuple
L’illusion ne se limite pas à la sphère personnelle ; elle s’étend aux structures qui régissent nos sociétés. Lorsque vous votez pour la « république » et que vous élisez un « représentant » qui deviendra « président », vous consentez implicitement à la politique menée. Mais réalisez-vous que tout ceci n’est qu’une invention habilement orchestrée pour maintenir une hiérarchisation à laquelle le peuple doit se plier ? On nous parle de démocratie, mais en réalité, nous ne choisissons absolument rien. La politique, prétendument « humanitaire », dicte la manière dont nous devons vivre et exister sur ce plan terrestre et sur le territoire où nous nous trouvons.
Comme le dit si bien la citation, l’homme n’est pas libre tant qu’il est soumis à la loi de l’autre. Lorsque la loi lui est imposée de l’extérieur, sa conduite droite perd toute valeur morale. L’individu se contente d’obéir à des ordres, il n’est plus lui-même et se soumet à la servitude de la hiérarchie dont il dépend. C’est une véritable dépendance qui alimente la matrice de l’ignorance.
La Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, souvent brandie comme un étendard de liberté, contient des articles qui, à la lumière d’une analyse critique, révèlent les failles de ce système.
- Art. 13. Pour l’entretien de la force publique, et pour les dépenses d’administration, une contribution commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés.
- Art. 14. Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d’en suivre l’emploi, et d’en déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée.
- Art. 16. Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.
- Art. 17. La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n’est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l’exige évidemment, et sous la condition d’une juste et préalable indemnité.
Le « consentement à l’impôt » est censé signifier que la population exprime son accord à la taxation, directement ou par ses représentants. En réalité, ce concept est devenu une fiction juridique, à l’instar du « contrat social » par lequel le peuple renoncerait à ses droits en faveur du pouvoir. Le principe du « consentement à l’impôt » révèle sa véritable nature : le masque hypocrite d’une oppression qui se veut rassurante, une tentative idéologique d’abuser le citoyen. Ce dernier, contribuable forcé, victime d’un syndrome de Stockholm fiscal, « consent » à l’oppression qui découle de la loi du plus fort – celle des hommes de l’État, des politiciens et de leur clientèle électorale – le tout sous le prétexte fallacieux de l’intérêt général. C’est un pilier de la matrice de l’ignorance.
L’Inviolabilité du Corps et les Dangers du Consentement Aveugle
Cette logique de soumission s’étend malheureusement jusqu’à l’intimité de notre corps. Lorsque vous consentez à faire vacciner votre enfant ou vous-même, vous donnez votre accord à un potentiel empoisonnement. Vous n’avez aucune idée de la composition exacte de cette chimie et de ses effets réels sur votre corps. Il suffit de consulter la liste des ingrédients de ces produits injectés pour y découvrir des éléments pour le moins surprenants. Consentir à de telles injections, sous la contrainte d’obligations légales, est à notre sens inadmissible, d’autant plus que cela concerne notre véhicule matériel. Nous devrions avoir le choix de refuser ou d’accepter ce que nous introduisons dans notre corps, une autonomie que la matrice de l’ignorance cherche à éroder.
Le Code Civil français, pourtant, semble nous offrir une protection :
- Article 16 (Créé par Loi n°94-653 du 29 juillet 1994 – art. 2) : La loi assure la primauté de la personne, interdit toute atteinte à la dignité de celle-ci et garantit le respect de l’être humain dès le commencement de sa vie.
- Article 16-1 (Créé par Loi n°94-653 du 29 juillet 1994 – art. 3) : Chacun a droit au respect de son corps. Le corps humain est inviolable. Le corps humain, ses éléments et ses produits ne peuvent faire l’objet d’un droit patrimonial.
- Article 16-5 (Créé par Loi n°94-653 du 29 juillet 1994 – art. 3) : Les conventions ayant pour effet de conférer une valeur patrimoniale au corps humain, à ses éléments ou à ses produits sont nulles.
Ces articles affirment clairement l’inviolabilité du corps humain et le droit à son respect. Pourtant, dans la pratique, ces principes fondamentaux semblent souvent bafoués au nom d’un « intérêt général » défini par des instances qui ne nous représentent pas toujours.
Le Reflet de la Nature en Nous
Dans ce panorama de l’illusion, la voix de Carl Gustav Jung résonne avec une pertinence particulière : « L’inconscient des gens qui vivent artificiellement me perçoit comme un danger. Tout en moi les irrite : ma façon de parler, ma façon de rire; ils sentent la Nature. »
Cette citation met en lumière la dichotomie entre ceux qui vivent déconnectés de leur essence, pris au piège de l’artificialité et du mensonge ambiant, et ceux qui, au contraire, se reconnectent à leur Nature profonde. Ceux qui « sentent la Nature » dérangent, car leur simple existence remet en question les fondements mêmes de l’illusion, de la matrice de l’ignorance. Ils sont un miroir, un révélateur des chaînes invisibles qui entravent la majorité.
En fin de compte, l’éveil à cette matrice de l’ignorance est un processus individuel et collectif. Il passe par une remise en question constante de l’information qui nous est fournie, une exploration audacieuse de notre réalité intérieure et extérieure, et un refus catégorique de la servitude sous toutes ses formes. C’est en déconstruisant les fondements de cette illusion que nous pourrons réellement reprendre le pouvoir sur notre existence, transmuter les énergies néfastes, et œuvrer à la préservation de notre planète et de l’humanité. L’heure n’est plus au sommeil, mais à l’action consciente et à la libération de l’esprit.
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