Malgré les progrès technologiques et sociaux, la race humaine primitive persiste encore à travers des comportements de domination, de violence et de compétition, nous éloignant chaque jour davantage des principes d’harmonie et de bienveillance qui pourraient véritablement incarner l’évolution humaine.
Dans notre monde moderne, où la technologie et la science avancent à une vitesse fulgurante, il est facile de croire que nous faisons partie d’une race humaine évoluée, qui aurait atteint des sommets de civilisation. Nous nous voyons souvent comme supérieurs aux autres espèces et aux générations passées, convaincus que nos découvertes, notre capacité à structurer des sociétés complexes et notre compréhension du monde font de nous des êtres “évolués”.
Cependant, cette vision de l’humanité est, en grande partie, une illusion de supériorité. Si nous observons de près les comportements humains, nous pouvons facilement déceler de nombreux traits primitifs et destructeurs qui persistent dans notre société moderne. Ces comportements, tels que la violence, la jalousie, l’égoïsme ou l’injustice, révèlent que, malgré toutes nos avancées, l’Homme n’a pas encore franchi une étape fondamentale dans son évolution spirituelle et émotionnelle.
L’illusion de l’évolution de la race humaine primitive
La race humaine primitive se croit au sommet de l’évolution, pourtant, dans son arrogance, elle néglige la simple vérité : sa croissance intérieure n’a pas suivi le rythme de ses découvertes extérieures. L’équilibre cosmique lui échappe encore, car elle s’enferme dans des croyances limitées et des systèmes de pensée déconnectés de la nature profonde de l’existence.
Nous vivons dans une époque où l’idée d’être “évolué” est largement liée aux avancées technologiques et à la complexité sociale. Une société qui a mis en place des lois, des institutions et des systèmes qui semblent offrir une certaine stabilité. Pourtant, cette vision réductionniste de l’évolution humaine est en grande partie unilatérale.
L’illusion de l’humanité évoluée repose souvent sur un jugement superficiel basé sur le progrès matériel et intellectuel. En d’autres termes, la perception que nous avons tout compris parce que nous avons créé des machines sophistiquées, des systèmes financiers complexes, ou des structures gouvernementales avancées. Pourtant, cette conception de l’évolution néglige des éléments essentiels qui définissent l’évolution spirituelle et la cohérence avec les lois universelles.
La race humaine primitive se pense évoluée, mais en réalité, elle n’est encore qu’un bébé dans son parcours spirituel, agitant ses premiers pas hésitants dans l’univers de la conscience supérieure. Bien que son intelligence se soit aiguisée à travers les siècles, elle reste fragile dans sa compréhension des lois universelles qui régissent l’équilibre de l’existence.
L’empreinte de comportements primitifs : Violence, jalousie et égoïsme
Malgré notre prétendue évolution, des comportements primitifs sont encore profondément ancrés dans notre nature. La violence, qu’elle soit physique ou verbale, est omniprésente dans nos sociétés. Elle prend la forme de guerres, de conflits, de violences domestiques, de racisme, de discriminations et d’agressions. Ce phénomène, loin de refléter une société évoluée, est un écho des comportements de survie de nos ancêtres, où la guerre et la compétition étaient des moyens de garantir la survie individuelle ou collective.
La jalousie et l’égoïsme sont également des comportements fréquemment observés. Ces traits font partie d’une réaction primale ancrée dans notre psyché. Alors que la société moderne prône des valeurs telles que l’égalité et l’amour universel, nombre d’individus sont encore guidés par des mécanismes de compétition, de possessivité et de convoitise. Ces attitudes sont héritées de notre besoin ancestral de protéger nos ressources et de garantir notre place dans la hiérarchie sociale.
La lutte pour le pouvoir et le contrôle, qui se manifeste tant au niveau politique qu’au sein de nos relations personnelles, montre également à quel point nous n’avons pas encore surmonté certains des instincts primitifs qui définissent nos comportements, malgré notre prétendue “évolution”.
Une vision déconnectée de l’harmonie universelle à travers le prisme de la race humaine primitive
La race humaine primitive, en quête de perfection et de pouvoir, oublie que son chemin vers l’authenticité passe par la déconstruction des mythes de supériorité qu’elle s’est construits. Si elle s’éveillait à la vérité, elle verrait que son progrès n’est que superficiel, tant qu’elle ne comprend pas l’interconnexion de tous les êtres et les principes sacrés qui régissent l’univers.
L’un des aspects les plus évidents de notre déconnexion par rapport à une véritable évolution est notre incapacité à vivre en harmonie avec les lois naturelles de l’univers. Bien que nous ayons acquis une compréhension approfondie de l’univers physique à travers la science, notre approche spirituelle et éthique reste souvent déconnectée des principes universels d’équilibre, de bienveillance et de respect.
Les civilisations avancées, qu’elles soient anciennes ou celles que certains théoriciens considèrent comme existant au-delà de notre perception actuelle, semblent baser leur compréhension de la vie sur des principes universels d’harmonie. Ces sociétés reconnaissent que l’évolution spirituelle et l’équilibre cosmique sont des clés essentielles pour une véritable croissance. Par comparaison, nos sociétés modernes, malgré leurs réalisations techniques, semblent souvent déséquilibrées, obsédées par le profit et la concurrence plutôt que par la bienveillance et la solidarité.
La quête de pouvoir : Une manifestation de la race humaine primitive
Cette race humaine primitive, en s’accrochant à des illusions de grandeur et de supériorité, ignore qu’elle est à peine au seuil de son propre éveil spirituel. À travers ses actions de domination, d’avidité et de destruction, elle révèle une évolution inachevée, loin de l’harmonie qui caractérise les civilisations plus avancées, celles qui ont compris que la véritable force réside dans la bienveillance et le respect.
Notre quête constante de pouvoir et de domination est un autre exemple frappant de notre involutivité. Nous avons été conditionnés par des siècles de hiérarchies sociales où le contrôle et l’oppression étaient perçus comme des signes de réussite. Dans de nombreuses sociétés modernes, les inégalités de pouvoir, d’accès aux ressources et de traitement des individus sont courantes. Cela montre clairement que, bien que nous ayons construit des structures plus complexes que nos ancêtres, les dynamiques de pouvoir sont encore dominées par les instincts de compétition et de dominance.
Les civilisations anciennes, souvent dépeintes comme plus sages ou spirituellement avancées, plaçaient souvent la collectivité et l’harmonie au centre de leur existence. Elles comprenaient l’importance de la bienveillance et du respect mutuel, des principes qui sont malheureusement souvent négligés dans nos sociétés modernes.
L’évolution spirituelle : L’étape oubliée
La véritable évolution de l’Homme ne réside pas seulement dans son développement intellectuel ou technologique, mais dans son évolution spirituelle. Cette évolution implique la reconnexion avec les principes universels, la compréhension de notre rôle en tant que partie intégrante d’un tout plus grand, et la capacité de vivre en équilibre avec notre environnement, nos pairs et l’univers.
L’homme moderne semble avoir oublié cette dimension fondamentale de l’évolution. Les sociétés contemporaines privilégient souvent le matérialisme et la compétition, oubliant que la véritable prospérité réside dans la cohérence avec les lois naturelles et la compréhension du rôle que chaque individu joue dans la création collective.
Une redéfinition de l’évolution : Un chemin vers l’harmonie
Alors que nous continuons à avancer dans un monde de plus en plus technologique, il est crucial de remettre en question cette illusion d’évolution. Pour véritablement évoluer, nous devons nous libérer des comportements primitifs qui nous limitent encore et nous reconnecter à des principes plus élevés de bienveillance, de respect et d’équilibre cosmique.
Cela demande de changer nos priorités et de réévaluer ce que signifie vraiment être “évolué”. L’Homme doit reconnaître que sa véritable force réside dans sa capacité à créer un monde harmonieux, fondé sur des valeurs universelles et des principes d’amour et de solidarité.
Quitter le mode race humaine primitive et revenir à une humanité véritablement évoluée
En dépit de ses avancées technologiques, la race humaine primitive continue de se battre contre elle-même, de se déchirer dans des conflits inutiles, prouvant que son évolution n’a fait qu’effleurer la surface de ce qui pourrait être une véritable sagesse collective. L’humanité reste prisonnière de ses instincts primaires, sa violence et ses désirs égoïstes témoignant d’une grande ignorance des forces subtiles qui lient toutes choses.
Il est temps pour l’humanité de transcender cette illusion de supériorité et de reconnaître que la véritable évolution passe par une transformation intérieure et une réconciliation avec des principes universels qui existent bien au-delà de notre compréhension limitée. L’évolution ne réside pas dans l’accumulation de connaissances techniques ou matérielles, mais dans notre capacité à incarner l’amour, la compassion et la bienveillance au sein de notre existence quotidienne.
En revenant à une forme d’humanité plus authentique, en harmonie avec l’univers et nos valeurs les plus profondes, nous pourrons véritablement prétendre à une évolution digne de ce nom mais il sera nécessaire de quitter ce mode de race humaine primitive.
