La pollution est sur toutes les lèvres, mais nous nous concentrons souvent sur ses manifestations physiques : l’air, l’eau, et la terre. Et si la véritable cause se trouvait ailleurs, dans un lieu bien plus insaisissable ? C’est ce que suggère Omraam Mikhaël Aïvanhov avec le concept de la pollution psychique. Cet article explore l’idée que nos pensées, émotions et intentions polluent notre environnement spirituel, avec des conséquences bien réelles sur notre santé et celle du monde.
La pensée : une force créatrice (ou destructrice)
Omraam Mikhaël Aïvanhov nous rappelle que la pensée n’est pas un simple vagabondage de l’esprit, mais une force puissante. Elle est un outil divin, capable de créer la beauté et la perfection. Malheureusement, la plupart des humains l’utilisent de manière inconsciente, pour se tourmenter, convoiter ou même nuire à autrui.
« La pensée est une force, une puissance, un instrument que le Seigneur a donné à l’homme pour qu’il puisse devenir créateur comme Lui. »
À l’instar d’un tas de fumier remué, les pensées négatives de l’humanité créent une atmosphère spirituelle nauséabonde. Cette pollution de l’esprit est le véritable problème.
Le marécage psychique : un reflet de notre monde intérieur
Imaginez notre atmosphère psychique comme un immense marécage. Au lieu d’être un lieu purifié par des eaux claires, c’est un endroit où les pensées et sentiments impurs stagnent. Haine, jalousie, cupidité… toutes ces émotions toxiques s’accumulent et créent des nuages denses et lourds au-dessus des villes, que l’on peut percevoir en étant attentif.
La science cherche désespérément des solutions pour la pollution physique, mais elle oublie de s’attaquer à la source : la pollution intérieure. Nos mauvaises pensées agissent comme des gaz d’échappement spirituels, empoisonnant l’air que nous respirons à un niveau subtil.
L’harmonie intérieure, notre meilleure défense
La solution ne réside pas seulement dans des mesures extérieures. Pour l’auteur, notre vulnérabilité face aux maladies et aux malheurs ne vient pas d’abord de l’extérieur, mais de l’intérieur. Lorsque notre sang, notre esprit et notre cœur sont impurs, nous devenons des proies faciles pour les maux physiques. La pureté intérieure est notre bouclier, une sorte de super-pouvoir qui nous permet de repousser les poisons extérieurs.
« Le mal est d’abord à l’intérieur. »
La science moderne, malgré ses avancées, est encore très en retard dans l’exploration du monde intérieur. Elle ignore l’importance de la pensée, des sentiments et des émanations fluides qui émanent de chaque être humain.
Transformer le monde, une pensée à la fois
La bonne nouvelle, c’est que nous avons tous le pouvoir d’agir. Chaque être humain est un artisan de sa destinée et un acteur de la santé du monde. En purifiant nos pensées, nos désirs, nos regards et nos paroles, nous ne faisons pas qu’améliorer notre propre vie. Nous contribuons à une transformation collective.
Chacun de nous a la responsabilité de devenir un foyer de lumière et de paix. C’est en cultivant des pensées pures et bienfaisantes que nous pourrons inverser le cours des choses et assainir l’atmosphère psychique de la Terre.
Vers l’avènement d’une humanité consciente
Cette prise de conscience est la première étape vers un changement profond. Au-delà des discours sur la protection de l’environnement, c’est en cultivant la pureté en nous-mêmes que nous pouvons réellement espérer un avenir meilleur.
L’approche d’Omraam Mikhaël Aïvanhov nous exhorte à devenir des artisans de paix et de lumière, à veiller à la qualité de notre propre vie intérieure. Chaque pensée, chaque sentiment que nous émettons a un impact. C’est en créant collectivement des foyers spirituels de pensées positives que nous pourrons, un jour, faire advenir le Royaume de Dieu sur Terre.
Voici un autre paragraphe que vous pouvez ajouter à l’article, axé sur les conséquences personnelles et la responsabilité de chacun.
La responsabilité de notre propre destin
Aïvanhov ne se contente pas de dresser un constat alarmant ; il nous rend également responsables de notre propre vie. Il nous met en garde contre la poursuite de la richesse, de la gloire et du pouvoir pour des raisons égoïstes.
Non seulement ces désirs nous rendent dépendants de forces extérieures, mais ils nous connectent aussi à ce qu’il nomme le « Prince de ce monde ». L’article nous exhorte à comprendre que chaque choix, chaque pensée, façonne notre destinée.
Si nous choisissons de cultiver la pureté, nous gagnons en liberté intérieure et en santé, tandis que la poursuite des acquisitions matérielles peut nous faire perdre le bien le plus précieux : notre libre arbitre. La véritable richesse, nous dit-il, se trouve dans la maîtrise de soi et la pureté de nos intentions.
En quoi la notion de pollution psychique résonne-t-elle le plus avec vous ? Pensez-vous qu’elle puisse être la source de nombreux maux contemporains ?