Sommes-nous vraiment incarnés ou simplement présents physiquement ? Cet article explore en profondeur la falsification de l’incarnation et surtout ce que signifie s’incarner pleinement, en dévoilant les mécanismes subtils de déconnexion, de manipulation de l’ADN, d’implants énergétiques et de matrices émotionnelles qui sabotent notre présence véritable — pour mieux retrouver notre souveraineté et réhabiliter l’acte sacré d’habiter pleinement notre corps et notre essence.
- Introduction : Être incarné, qu’est-ce que cela signifie vraiment ?
- Une incarnation tronquée : l’illusion d’être là
- Manipulation de l’ADN et déconnexion de l’origine
- Implants, blocages énergétiques et interférences subtiles
- La matrice émotionnelle : maintenir l’être en désalignement
- S’incarner réellement : un acte radical de souveraineté
- Conclusion : une incarnation à réhabiliter
1. Comprendre la falsification de l’incarnation: Être incarné, qu’est-ce que cela signifie vraiment ?
Dans la spiritualité contemporaine, on entend souvent que nous sommes tous incarnés. Mais cette affirmation mérite d’être revisitée. Car l’incarnation ne se limite pas à habiter un corps biologique, il existe une falsification de l’incarnation. L’incarnation suppose d’habiter ce corps avec sa pleine conscience, son âme, son énergie vitale, et sa souveraineté. Or, pour beaucoup d’êtres humains aujourd’hui, cette incarnation est partielle, voire totalement sabotée.
L’incarnation véritable, c’est l’alignement entre l’esprit, l’âme, le mental et le corps. C’est être pleinement présent, éveillé à soi-même, relié à son essence divine tout en étant enraciné dans la matière. Mais sommes-nous vraiment là ? Ou ne sommes-nous que des fragments dissociés, guidés par des programmes inconscients ?
2. La falsification de l’incarnation : Une incarnation tronquée : l’illusion d’être là
Dès la naissance, et même parfois in utero, notre expérience humaine peut être détournée. L’environnement, les chocs émotionnels, les croyances culturelles et les traumatismes personnels viennent perturber la descente complète de la conscience dans le corps.
Beaucoup de personnes vivent sans être pleinement présentes à elles-mêmes. Elles opèrent à partir d’un mental dissocié, d’un corps sous stress, et d’un cœur fermé. Elles croient être elles-mêmes, mais ne font souvent que répéter des programmes de survie. C’est une fausse incarnation, une illusion d’être là.
« Être incarné, ce n’est pas occuper un corps. C’est l’habiter, l’aimer, le libérer et le faire vibrer. »
Ce désalignement se manifeste par une fatigue chronique, une difficulté à ressentir pleinement, à faire des choix clairs ou à exprimer sa vérité. L’être humain devient alors facilement influençable, car déconnecté de sa boussole intérieure.
3. Manipulation de l’ADN et déconnexion de l’origine dans le cadre de la falsification de l’incarnation
L’ADN humain, tel qu’il nous est transmis aujourd’hui, est loin de son potentiel originel. Selon certaines approches spirituelles et ésotériques, des fragments de notre génome ont été désactivés ou modifiés, volontairement ou non, au cours des âges.
Les conséquences ? Une conscience limitée, une difficulté à percevoir les plans subtils, et un oubli profond de notre origine divine. Certains parlent d’un ADN « bridé » par des manipulations interdimensionnelles qui auraient eu pour but de contrôler l’évolution humaine.
Notre ADN est un pont entre les dimensions. S’il est coupé, nous restons prisonniers d’un monde dénaturé.
Heureusement, des pratiques existent pour réactiver cette mémoire cellulaire : respiration consciente, soins quantiques, chants vibratoires, alimentation vivante, méditation profonde… Reconnecter son ADN, c’est retrouver sa souveraineté énergétique.
4. La falsification de l’incarnation : Implants, blocages énergétiques et interférences subtiles
Nombreux sont ceux qui parlent d’implants astraux, de technologies invisibles ou d’interférences non-humaines qui saboteraient l’incarnation réelle pour se conformer à la falsification de l’incarnation . Ces implants peuvent être positionnés dans les chakras, la colonne vertébrale, la glande pinéale ou encore dans les corps subtils.
Ils ne sont pas toujours visibles ni détectables par les sens ordinaires, mais leur impact est bien réel : sabotage de l’intuition, perturbation émotionnelle, fatigue inexpliquée, pensées négatives récurrentes, difficulté à méditer ou à se relier à l’âme.
En complément, des programmes mentaux sont injectés dès l’enfance : culpabilité, peur, croyance en l’impuissance, dépendance à l’autorité. Ces programmes forment un ego conditionné qui agit comme une interface de contrôle, empêchant la conscience supérieure de s’incarner pleinement.
5. La matrice émotionnelle : maintenir l’être en désalignement
Nous vivons dans une matrice émotionnelle qui alimente la peur, la honte, la comparaison, le doute, et la division. Ce champ vibratoire est entretenu par les médias, l’éducation, la publicité, et parfois même certaines croyances spirituelles détournées.
Cette matrice émotionnelle n’est pas anodine : elle est conçue pour empêcher la descente de l’âme dans le corps. Car une âme incarnée est autonome, libre, et difficilement manipulable.
Les symptômes d’un être piégé dans cette matrice ?
- Difficulté à ressentir la joie authentique
- Sensation d’être spectateur de sa vie
- Addiction à l’hyperactivité ou à la distraction
- Hyper-mentalisation et perte de l’écoute intérieure
Libérer ces émotions non digérées, c’est ouvrir la voie à une incarnation plus alignée, plus vibrante, plus consciente.
6. S’incarner réellement : un acte radical de souveraineté
S’incarner vraiment, c’est reprendre possession de son temple intérieur et sortir du cycle infernal de la falsification de l’incarnation. C’est faire de son corps un sanctuaire sacré, un pont entre le ciel et la terre. C’est aussi un acte de courage : car cela implique de faire face à tout ce qui en empêche la réalisation.
Cela passe par :
- La reconnaissance de ce qui a été falsifié ou verrouillé
- La guérison des mémoires de dissociation ou de fragmentation
- Le nettoyage énergétique profond (corps, chakras, aura)
- La reprise de pouvoir sur ses choix, ses actes, son chemin
« Un être vraiment incarné est un être souverain, libre, conscient de sa lumière et capable de l’ancrer dans la matière. »
Cette incarnation radicale dérange. Elle menace les systèmes de contrôle. Elle réveille les autres. C’est pourquoi elle est si précieuse, et si urgente.
7. Conclusion. sur la falsification de l’incarnation : une incarnation à réhabiliter
La plupart des humains vivent une incarnation partielle, tronquée, falsifiée car ils sont totalement en falsification de l’incarnation. Mais ce n’est pas une fatalité. Car la conscience peut toujours se rappeler à elle-même. Le feu originel ne s’éteint jamais. Il sommeille. Il attend d’être réactivé.
Se poser la question : « Suis-je vraiment là ? » est le début d’un retour à soi. Un retour à la présence, à la vérité, à la puissance intérieure.
En réhabilitant l’incarnation, nous ne faisons pas que guérir nos blessures personnelles. Nous transformons aussi le collectif. Nous restaurons la trame divine dans la matière.
L’incarnation n’est pas un fardeau. C’est une mission. Une bénédiction. Une alchimie.
Et toi, es-tu prêt(e) à descendre vraiment dans ton corps, à t’y installer, et à incarner ta lumière ?
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